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L'immobilier de nos villes : changeant mais fiable.


Publié le 20 janvier 2023

De concert de nos jours les médias nationaux, les syndicats et franchises immobiliers nous proposent de jolies statistiques « taille unique » sans souci – et, surtout, sans connaissance – des particularités de la trame finement tissée de nos lieux.

 

Or, nous le savons, d’informations incertaines souvent naît l’angoisse, alors, puisque votre quiétude m’est précieuse, Chers Lecteurs, je vous invite à découvrir en quelques lignes les raisons de croire en un équilibre durable du marché immobilier de nos villes – au sein de notre micro climat, légèrement différent de la toise et des inclinations nationales.

 

Quelles sont les tendances de nos villes ?

 

 

 

Dans les territoires de l’Est Parisien, du Grand Paris Grand Est, de Paris Terre d’Envol, de Paris-Vallée de la Marne… le logement souvent reste la principale dépense de nos foyers.

 

Ainsi, l’Indice de Révision des Loyers (IRL), qui réglemente la plupart de nos baux d’habitation, ne cesse d'augmenter depuis 2021.

 

Pourtant les loyers sont plutôt soumis, au réel, à une légère baisse : les assurances en garantie loyers impayés sont de plus en plus restrictives donc les dossiers agréés sont de plus en plus rares et les clients locataires qui cochent toutes les cases de ces assurances ont pour l’instant de grands boulevards devant eux pour choisir leur logement.

 

Oui, mais, d’autre part, le nombre de logements à louer se réduit de jour en jour :  la mise en place des autorisations et permis de louer écarte du paysage locatif les biens de propriétaires peu soigneux et, pire, de nouveaux critères en diagnostics pénalisent soudain – souvent par excès de zèle ou manque d’information - des logements décents dans un « parc locatif (pourtant) tendu ».

 

Donc, même si, l’inflation sévissant, vous souhaitez, Chers Lecteurs locataires, attendre un peu avant de louer plus près, plus spacieux, plus confortable… de votre côté, Chers Lecteurs bailleurs diligents, vous aurez très bientôt le monopole du marché locatif régulier.  

 

Tout ceci nous ramène gentiment à l’équilibre de l’offre et de la demande.

A nous, vos agents, de vous faire encontrer dès maintenant, Bailleurs et Locataires, pour les bonnes raisons, au bon moment de vos choix de vie.

 

Les transactions en vente aussi se soumettent à l’actualité : hausse des taux d’intérêts, stagnation des taux d’usure, baisse de la capacité d’emprunt des acquéreurs, donc baisse du nombre d’acquéreurs, donc baisse des prix à la vente….

 

Mais, là encore, nous vivons dans un micro climat qui nous ramène à l’équilibre : tout comme en 2007-2008 - lors de la méga crise des prêts relais. Lorsque le nombre d’acquéreurs se raréfie, les propriétaires en nos jolies contrées, se sentant bien chez eux et n’ayant nulle presse de vendre – surtout à perte - simplement diffèrent la mise en vente de leur bien. D’autant que certains propriétaires aujourd’hui voient leur départ en retraite retardé – oui, c’est d’actualité – et que d’autres redoutent de partir s’installer dans des « déserts médicaux ».

 

Résultat : moins d’acquéreurs, certes, mais aussi moins de biens en vente, donc encore et toujours un équilibre spontané de l’offre et de la demande – donc des prix.

 

CQFD, n’est-ce pas ?

 

Pour des informations précises liées à vos propres projets, vous pouvez, Chers Lecteurs, me téléphoner.

 

A très bientôt,

 

Orianne.